Vidéo de Mbodiène
Vidéo de 3mn montrant l'arrivée
des pélicans sur la lagune au crépuscule
et un panorama de la lagune en plein jour
Photo : l'un des vitraux en bouteilles de bière
de l'église de Mbodiène
|
Symbole du catholicisme
sénégalais, sanctuaire écologique,
haut-lieu du tourisme indépendant, village de
villégiature du l'actuel pseudo-président
(c'est un peu le Fort de Brégançon du
Sénégal...), Popenguine (appelée
aussi Poponguine), malgré sa taille est connue
de tous les Sénégalais. C'est la combinaison
de tous ces attraits qui font le succès et la
renommée de ce qui reste un petit village de
brousse de la Petite Côte sénégalaise.
Photos : à gauche Notre
Dame de la Délivrance à l'intérieur
de l'église, ci-dessous à droite, les
falaises de Popenguine.
Popenguine
aurait été créée il y a
voilà plus de trois siècles par des Socés
(Mandingues).
Le nom du village viendrait de "pop" et de
"nguine" qui signifient "venir se cacher".
Une référence sans doute aux falaises
et collines qui servaient de refuges aux populations
lors des guerres tribales. D'autres parlent d'une origine
wolof du nom, qui viendrait alors de "bopp"
et de "jinn", c'est à dire "le
visage du génie", en l'occurence celui de
Coumba Cupaam, jinn protectrice du village.
Avant
de connaître le christianisme, les habitants animistes
de Popenguine ont été approchés
et souvent convertis à l'islam.
C'est Tafsir Khaly Sarr, un marabout du Saloum
qui, le premier, réussit à convertir un
roi de Popenguine, Mbagnick Diouf, avant d’épouser
sa fille. Aujourd'hui encore, même si la renommée
nationale de Popenguine vient de sa Vierge Noire (bénie
par le Pape) et de son pèlerinage catholique,
le village compte plus de musulmans que de chrétiens.
C'est l'édification, en 1887, d'une case de santé
par un missionnaire alsacien (le père Strub)
qui marque l'arrivée timide du christianisme
à Popenguine. Les premiers baptêmes arrivent
vite bien que souvent motivés par des intérêts
matériels puisqu'outre le dispensaire, les missionnaires
ne manquaient pas d'aider les populations en cas de
pénurie alimentaire.
Photos : à gauche, une religieuse
au repassage dans l'église, ci-dessous à
droite, une partie de la fresque du mur d'enceinte du
sanctuaire marial.
Aujourd'hui,
comme partout ailleurs au Sénégal, la
cohabitation entre chrétiens et musulmans se
fait en toute amitié et il n'est pas rare que
les deux confessions soient représentées
à l'intérieur d'une même famille.
Le défunt cardinal Hyacinthe Thiandoum, originaire
de Popenguine, compte lui-même des musulmans parmi
ses oncles, cousins, neveux, etc... Les musulmans n'hésitent
d'ailleurs à participer à leur manière
en aidant à l'organisation de toutes les cérémonies
catholiques
d'importance comme le pèlerinage annuel. Ce fut
également le cas en 1992 lors de la venue du
Pape. C'est d'ailleurs à l'occasion de la visite
papale que fut bénie "la Marie" du
sanctuaire marial édifié en 1888 et qui
aujourd'hui est au centre du pèlerinage catholique
annuel du lundi de pentecôte ou des milliers de
catholiques marchent de Dakar à Popenguine pendant
toute une journée. Même si ici, contrairement
à Lourdes, personne n'a vu la Vierge, le sanctuaire
de Notre Dame de la Délivrance a connu depuis
cette reconnaissance du Saint Père un regain
de légitimité.
L'église
de Popenguine, achevée en 1988 après un
siècle de construction, si elle n'a rien d'exceptionnel,
demeure un très bel édifice, l'un des
plus vieux du pays. Malgré sa très sobre
architecture, elle n'est pas sans rappeler certaines
petites églises de village du sud de la France.
Vous
pouvez bien-sûr assister à la messe dominicale
qui vous montrera les pratiques religieuses du Sénégal
d'une grande piété mêlée
d'une grande joie. Une partie de cette messe est célébrée
en Français, l'autre en Sérère.
Photos : à droite,
l'église de Popenguine, à gauche Notre
Très Sainte Dame de la Délivrance dans
sa grotte de Popenguine
Pour
beaucoup de Sénégalais, Popenguine
est aussi le village natal du cardinal Hyacinthe
Thiandoum, prénommé ainsi par son
père en mémoire de Hyacinthe Jalabert,
missionnaire français mort lors d'un naufrage
au large de Bordeaux alors qu'il s'apprêtait
à retourner au Sénégal. Evêque
dès 1962, Thiandoum a été
créé cardinal en 1976. Décédé
en mai 2004, il reste dans la mémoire des
Sénégalais le chantre du dialogue
islamo-chrétien. |
Si
le sanctuaire marial Notre Dame de la Délivrance
est désormais célèbre, le sanctuaire
écologique de Popenguine ne l'est pas moins.
Créée en 1986 sur le site d'une forêt
classée, cette réserve est à la
fois terrestre et maritime. Sur plus de 1000ha, entre
falaises, collines, lagune, espace maritime au fond
rocheux, la faune et la flore trouvent un répit,
sans risque de voir leur habitat dégradé.
Sous la direction des parcs nationaux et d'une association
de populations locales, la protection et l'entretien
est assuré avec succès. Dans une flore
constituée principalement d'acacias, de baobabs,
de kinkélibas et de jujubiers, des mammifères
(guibs harnachés, sylvicapres de grimm, porc-épic,
callitriches, chacals à flancs rayés,
mangoustes, civettes, etc.) et 195 espèces d’oiseaux
(dont une partie durant la saison migratoire) vivent
en toute liberté.
Photos : ci-dessus à droite
la côte découpée de la baie de Popenguine,
ci-dessous à gauche la "case de tout petits",
servant de crèche et gérée par
l'association.
C'est
grâce à une association de femmes (RFPPN)
venant de Popenguine mais aussi de localités
voisines que des travaux d'importance on pu être
réalisés. C'est le cas de la mise en place
et de la gestion d'une pépinière destinée
à reboiser les environs mais aussi à servir
de bois de chauffage domestique (cuisine), d'alimentation
en fruits et de plantes d'ornement. D'autre part, des
barrières constitués de rangées
de rochers et de clôtures ont été
érigées pour lutter contre l'érosion
de la saison des pluies et des alizés marins.
Cette association de femme, soutenue
par la Fondation Nicolas Hulot, compte aujourd'hui près
de 1200 femmes qui agissent jusqu'à La Somone
en protégeant la mangrove de la lagune. Elle
sont à l'origine et gèrent aussi le campement
touristique Kër Cupaam de Popenguine (voir les
hébergements de Popenguine). Les revenus de cette
activité servent à financer leur actions
de protection de la nature ainsi que des projets sociaux
(éducation, santé, etc.). La lutte contre
la pollution fait également partie de leur mission
avec la valorisation d'ordures ménagères
par compostières, la distribution de combustible
pour éviter l'usage de charbon issu de la déforestation,
et le traitement des eaux usées. Photo ci-dessus
: l'immaculée plage de Popenguine.
Aujourd'hui,
Popenguine est devenue le lieu de vélligiature
de nombreux Dakarois aisés qui y trouvent le
calme et l'air pur absent de Dakar depuis une vingtaine
d'années. C'est le cas de Doudou Wade, le très
vieux président sénégalais qui
s'est offert un palais, sans nul doute avec l'argent
qu'il "gagnait" durant son bref mandat ministériel
du temps de son illustre prédecesseur, Abdou
Diouf. Ne vous aventurez surtout pas à prendre
son palais en photo car un militaire irrascible armé
d'une kalachnikov monte la garde et s'il jamais il vous
tirait dessus, vous pourriez être accusé
de meurtre, son fusil lui pétant sans doute à
la gueule vu son état (photo
à gauche : l'irrascible bidasse qui à
la vue d'un appareil photo commençait à
se lever pour armer sa pétoire de tirailleur
- novembre 2004...).
Le
tourisme est une activité dynamique à
Popenguine. Dakarois comme touristes étrangers
peuvent y passer le week-end ou un séjour complet
grâce à une
offre hôtelière à tous les prix
et à de nombreux restaurants, de la table gastronomique
au petit maquis traditionnel. Les balades sur la plage
tranquille, à pied ou à cheval vous permettront
d'admirer les falaises et des sculptures taillées
dans la roche. Photo à droite : villas et
restaurants... vraiment les pieds dans l'eau.
Vous
pourrez accéder à Popenguine partir du
croisement de Sindia. Avec votre véhicule personnel,
il vous faudrait moins de 20mn à partir de Saly-Mbour-La
Somone et moins d'une haure à partir de Dakar.
En transport en commun, de Dakar, comme de Mbour, il
vous faudra payer l'intégralité du trajet
Dakar-Mbour (1000CFA, 1.5€ en taxi 7 places) et
demander au chauffeur de vous arrêter au croisement
Sindia de Popenguine. De ce croisement, des clandos
partent toute la journée et vous emmèneront
au village pour 250CFA.
Voir
la page sur les catholiques du Sénégal
Voir la
page sur la région de la Petite Côte
Voir
une courte vidéo de Popenguine
Photo à droite : les pèlerins
devant la Vierge le lundi de Pentecôte.
Cliquez pour ouvrir le diaporama
Voir
également des dizaines de photos de Popenguine
L’Echo Côtier :
Restaurant. ( 957 71 72, (637-8772
Sylvaine et Arnaud Calmel. Restaurant les pieds dans
l’eau. NE FONT PLUS CAMPEMENT. Travaille avec
le campement Coupru sur Mer installé pas loin
de chez eux. Cuisine et présentation raffinée.
Cadre idyllique. Hygiène irréprochable.
Accueil et service de qualité. Travaille beaucoup
avec les Dakarois et quelques résidents de Saly/Somone
qui veulent fuir Saly. Photo à droite : l'Echo
Côtier.
Chez Ginette : Restaurant.
Page sur l'asso des femmes de Popenguine
Site du Sanctuaire Notre Dame de la Délivrance
Le bienheureux Daniel Brottier d'Alphonse
Gilbert. Le père Daniel Brottier, béatifié en 1984 par
le pape Jean Paul II, est un héros fabuleux de notre
temps: missionnaire spiritain au Sénégal, il se révèle
un éducateur hors pair ; aumônier volontaire au front
durant la guerre de 1914, il brave le danger pour demeurer
constamment en première ligne avec ses soldats. Avec
l'appui de Clemenceau, il fonde l'Union nationale des
Combattants. Au retour de la guerre, son prestige suscite
la générosité de milliers de Français à travers tout
le pays pour édifier à Dakar le fameux Souvenir africain.
Église
locale et crise africaine : Le diocèse de Dakar
de Léon Diouf. Si cet ouvrage traite d'abord de
Dakar et de sa région, il y a assez de similitudes entre
pays d'Afrique noire pour qu'une bonne part de ce qui
se passe dans un pays en matière de crise se retrouve,
mutatis mutandis, dans les autres pays. Le témoignage
recueilli à partir d'un seul pays peut servir à ancrer
la réflexion dans la réalité africaine la plus profonde.
Notre sélection d'hébergements
à Popenguine :
$limitPerPage = 4; include("../hotels/pro.php"); ?>
$pagec="senpopenguine";
include ("../int/participation.php"); ?>
Mbodiène
est un hameau de la Petite Côte situé entre
Nianing et Joal. C’est
un village d’agriculteurs sérères entre
la mer et la route Mbour-Joal. On y cultive presque
exclusivement du sorgho. L'endroit est véritablement
sympa et les promenades à pieds y sont agréables.
Les plus courageux iront même jusqu'à Ngazobil
ou Joal-Fadiouth à
l’aide de leurs chaussures ! Un des attraits de Mbodiène
réside dans sa magnifique petite lagune à
l’eau claire où adultes et enfants peuvent se
baigner sans danger. En effet, elle est rarement plus
profonde qu'un mètre, y compris à marée
haute.
Photos : à droite,
coucher de soleil sur la lagune, l'isthme et l'océan,
ci-dessos à gauche, pélicans blancs nichant
avec leur petit près d'un des derniers bosquets
de mangrove de la lagune.
La
faune y est riche et variée : reptiles (pythons,
varans, tortues marines, etc...), oiseaux (pélicans,
aigrettes, calaos, vautours, milans, hibous, chouettes,
cormorans, etc...) et mammifères (chauves-souris,
mangoustes...) y ont trouvé refuge. Il y a peu
de temps, une hyène y avait même élu
domicile et gambadait joyeusement de l'autre côté
de la lagune pour la plus grande joie des amoureux de
la nature... et la plus grande crainte de certains habitants
qui ont réclamé sa peau... La pauvre bête
a vite fait de se prendre un coup de fusil et désormais
tout le monde dort malheureusement en paix, sans les
rires de Bouky, la hyène.
Mais
tout ce petit monde est en péril car la
zone n'est pas protégée. De plus,
la très incompétente SAPCO (Société
d'Aménagement de la Petite Côte,
mandatée par l'état sénégalais)
a désormais la gestion de cette partie
du littoral et quand on voit les ravages causés
à Saly et la Somone on est en droit de
s'inquiéter. Si aujourd'hui aucun grand
hôtel excepté le Laguna Beach n'est
venu amonceler des parpaings on sait que Mbodiène
et sa lagune sont en sursis. Déjà,
la spécialité sénégalaise,
"l'ébauche de construction",
commence à défigurer une partie
de Mbodiène Plage. Le principe est simple
: on construit les murs pour pas se faire piquer
le terrain, on commence à faire 5 ou 6
rangées de parpaings et on attend quelques
années d'avoir l'argent pour terminer l'ouvrage
ou de trouver un couillon pour racheter à
prix d'or le chantier... Ca rappelle par endroit
au Sénégal Beyrouth Ouest pendant
la guerre et ça commence à arriver
à Mbodiène... |
|
Envol de pélicans sur la lagune
de Mbodiène vu du campement "Le Thiossane"
(voir ci-dessous, hébergements)
L'autre péril guettant la lagune
de Mbodiène est l'ensablement. Diverses initiatives,
rarement couronnées de bonheur, ont tenté
de réouvrir la circulation de l'eau alors que
la lagune était complètement bouchée
et dépérissait. Le problème c'est
que c'est un travail de géologue et qu'aucun
ne semble avoir été sollicité pour
se pencher sur le problème. Aujourd'hui l'eau
circule mais la lagune reste à la merci d'une
tempête la bouchant avec un banc de sable...
Une usine d'extraction et de transformation
du calcaire s'est installée il y a quelques années
à l'entrée de Mbodiène sans que
ses activités ne dérangent le village
ni ne pollue la lagune.
L'intégralité
des hébergements touristiques de Mbodiène
est située au bord de la lagune, à une
vingtaine de minutes à pieds du village. Quelques
pistes serpentant entre les champs, la brousse et les
étendues salées inondées à
marée haute mènent aux quelques hôtels,
auberges et campements installés ici depuis quelques
années. Un nombre modeste quoique croissant de
résidences secondaires, dont beaucoup ne sont
pas achevées, exhibent leur béton et leurs
vilains parpaings aux touristes de passage. On rêve
d'un arrêté de démolition qui sans
doute ne viendra jamais ou d'une obligation faite aux
propriétaires de finir leurs constructions dans
des délais raisonnables....
Photo à droite :
bétail divaguant sur les pistes du village
Les touristes qui souhaitent se baigner
dans la mer peuvent traverser la lagune à pieds
ou la nage bien que le fond soit désagréable
car vaseux (forcément, c'est une lagune....).
Certains hébergements touristiques mettent d'ailleurs
à disposition de leurs clients des petites embarcations
pour la traversée (la lagune ne dépasse
que rarement une cinquantaine de mètres de large).
Malgré ces paysages sauvages
et cette tranquillité à toute épreuve,
ouvrir une auberge ou construire une maison n'est pas
simple. Il faut dire que la situation est rude pour
ceux qui se sont installés sur la lagune : il
n'y a ni eau ni électricité ni téléphone
et, à moins de faire tirer les câbles électriques
ou les canalisations d'eau à ses frais sur plusieurs
kilomètres depuis la route, il faut être
autonome en énergie et en eau... Ce serait le
coin idéal pour un projet pilote d'écotourisme
car ici plus qu'ailleurs le solaire et les économies
d'eau et d'énergie peuvent être un argument
de vente touristique.
Photo : La lagune de Mbodiène et l'isthme la
séparant de l'océan sont un refuge naturel
pour une faune riche et variée
Le
village de Mbodiène, situé au bord de
la route Mbour-Joal, est à 20 minutes de marche
de la lagune. Impossible de le louper quand vous arrivez
en voiture : un immense fromager (sans doute l'un des
derniers de la Petite Côte !) trône non
loin d'un grand calvaire blanc.
Dans un dédale de petites ruelles
sablonneuses, les habitations des quelques 3000 Mbodiènois
se succèdent paisiblement à peine animées
par les jeux des enfants à la sortie de l'école.
Il n'y a guère que les jours de mariage ou de
funérailles et le dimanche, à la messe,
que les villageois sortent tous pour aller à
l'église. Mbodiène est décidemment
l'un des coins les plus paisibles de la Petite Côte
!
Une
des "curiosités" indiquées dans
les guides réside dans les vitraux de l'église
du village. Ils ont en effet été réalisés,
non sans humour ni éclat de génie, en
bouteilles de bière en verre de différentes
couleurs coulées dans du béton (on reconnaîtra
la bouteille de bière Gazelle verte....). Au
coucher de soleil, les vitraux s'illuminent chacun avec
ses couleurs et ses motifs... L'histoire ne dit pas
si ce sont les fidèles qui se sont sacrifiés
pour descendre le pinard et la bière afin de
fournir le curé et le maçon en matériaux...
Photos : en haut à droite un
gros baobab devant l'école et le jardin d'enfants
du village, ci-contre à droite, l'église
avec son style très "Western Nouveau-Mexique".
Le
village compte deux ou trois boutiques "épicerie-alimentation",
une boutique de cosmétiques, un boulanger traditionnel
(le pain qui vient de Joal est quant à lui comme
un Kinder Bueno : beau à l'extérieur,
vide à l'intérieur), une dibiterie, deux
ou trois télécentres, un mécano,
une garderie d'enfants, une école publique, un
cimetière mixte (très majoritairement
catho forcément), un dispensaire, une église
et une mosquée (offerte par le Koweit, l'Iran,
l'Arabie Saoudite ou un autre pays très démocratique
du Golfe). Les habitants comme les touristes ont donc
de quoi satisfaire leurs besoins les plus élémentaires
même si beaucoup préfèrent faire
leurs courses à Joal ou Mbour. Il est également
utile de savoir que si vous résidez dans l'un
des hôtels ou campements du village, vous aurez
toujours la possibilité de varier les plaisirs
en allant manger ou boire un coup dans les autres :
la plupart ouvrent leur restaurant et leur bar aux clients
extérieurs.
Notre sélection
d'hébergements à Mbodiène :
$localite = "Mbodiène"; $limitPerPage = 4;?>
include("int/tourism/pro.php"); ?>
Accès :
Le plus simple pour aller à Mbodiène
est de prendre un taxi 7 places à Dakar ou à
Mbour en direction de Joal et de demander au chauffeur
de vous déposer à Mbodiène...
Depuis Joal, il existe également
une ligne de taxis clando qui toute la journée
vous emmène à Mbodiène en 5 minutes
depuis la gare routière "Dakar" située
à l'entrée de la ville. Si vous souhaitez
aller directement dans votre hôtel à Mbodiène
Plage pour éviter de vous farcir 20 minutes de
marche à pieds, vous pouvez négocier une
"location" qui vous emmènera dans votre
hôtel pour un tarif allant de 1500 à 2500CFA
en fonction de l'heure et de votre talent à la
négociation !
Depuis Mbodiène, vous pouvez
prendre ces mêmes clandos dans le simili de gare
routière située non loin du grand fromager
du village au bord de la route goudronnée. Du
matin à l'aube jusqu'à 19-21h (en fonction
des jours) vous pourrez aller à Joal
et à Fadiouth.
Les clandos de Joal à Mbodiène
sont à 150CFA-0,20€
Les taxis brousse Mbour-Mbodiène
sont à 600CFA et Dakar-Joal à 1800CFA-2,10€.
Demandez à vous arrêter à Mbodiène
si vous ne voulez pas vous retrouver à Fadiouth.
$pagec="senmbodiene"; include ("int/participation.php"); ?>
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